rencontre : Pelerin / D

Francis vit Hannibal Lecter,assis sur un banc...
C'était toujours ce même homme,si classieux.
Francis était si impatient de lui parler et de lui montrer son cadeau...

Il s'approcha de lui,mais face à Lecter,Dolarhyde ne su quoi dire.
Il attendit donc que Hannibal parle le premier...

Il était là en face de moi, mais ne se décié pas a parler, je me levé donc et lui tendit ma main qu'il sérra, un grand sourir éclairant son visage.
- Bonjours ! Dis-je. Je suis ravis de vous rencontrer, surtout après nos échanges.
Il ne répondit rien.
- Ne vous en fait pas jeune homme, je ne pense pas a me servir de vous comme prochain repas, vous pouvez donc parler en paix. Mais vous n'avez pas peur de cela n'est ce pas ?
Il hocha la tête.
- Ne soyez donc pas intimidé, que voulez vous, me montrer ?

Francis était vraiment intimidé d'être face au grand Hannibal Lecter!
Il tenta de répondre à ses premières questions mais sa timidé et la peur de mal s'exprimer le paniquait.
Lorsque que Lecter lui demanda enfin ce qu'il voualit lui montrer,Francis ouvrit enfin la bouche.

Pardonnez-moi Mr lecter,je....enfin,je suis heureux de vous rencontrer et je voulais pour notre premier rendez-vous depuis notre correspondance,vous offrir quelque chose qui je suis certain,vous plaira....
Suivez-moi,mon présent est dans mon van.

Lecter suiva Francis jusqu'à son véhicule.
Le vent frais se lévait enfin et Francis ouvrit les portes de son van avec un immense sourire.

Voilà Mr Lecter,mon présent pour vous!

Devant la main que tendait Francis,Lecter pouvait apercevoir Clarice Starling,allongée,pieds et mains liés,ainsi que soyeusement baillonée...

J'espère que mon "cadeau" vous plait Mr Lecter?

Elle étai là devant moi, même présentée de la sorte,sa beauté sautée aux yeux. Elle avait l'air désemparée. Je regardais Francis, les yeux brilants.

En voila un jolie cadeau, je vous remercie sicérement.

La petite souris était aux anges, puisque aucun cadeau ne m'aurait fait plus plaisir et il savait. Compte a cette chère Clarice, elle c'était arrêtée de bougé complétement, je savais qu'elle avait reconnut ma voix. Je rentrais dans le van et lui retirai le bandeau qu'elle avait sur les yeux. Elle ne me rendait pas le sourire que je lui lançait, son regard était froid... Je lui dis juste

Bonjour Agent Starling je suis heureux de vous revoir.

Je n'attendais pas de réponse, mais elle en formula une

Bonjour Docteur Lecter...

Francis était vraiment heureux de ce qu'il venait de faire,et la scène qui se jouait devant lui en était la récompense.
Lecter le remerçia;Francis en était encore plus excité de la situation.
Clarice,elle,aurait voulu être à milles lieux d'ici...
La peur dans les yeux de cette femme plaisait à Francis,mais il ne devait pas y toucher,elle était son "cadeau" à Hannibal...

Je sortais du van et remercier françis encore une fois, je lui dis :

il faudra que je vous offre en petit cadeau moi aussi, ou un service sa dépend de se que vous avez besoins biensur.

Je sus que mes paroles avait touché cette homme, d'un ton sobre il me dit simplement

Je suis flatté que cela vous plaise

Il avait fai un effort sur chaque syllabes et sa prononciation avait était presque parfaite, mais il avait dit ça tellement doucement que j'avais du tendre l'oreil pour l'entendre. Je lui dit alor

J'en suis heureux, si nous faisions connaissance avant que je reparte. J'avoue que j'aimerais beaucoup vous parler, vous m'intéréssé dirons nous.

Il hocha la tête pour approuvé, il ferma la porte du van après que j'eu dit a clarice :

Je reviens vous chercher dans quelques instants ne soyez pas trop impatiente nous aurons tout notre temps.

Puis une fois la porte fermé, mon "ami" et moi partîmes nous installer quelque part ...

La porte du van se referma. Il fallait agir vite, elle essaya de trouver quelque chose pour couper ses liens elle apercu une bodure métalique qui avait l'air tranchante elle rampa jusqu'à se bord avec difficulté. Elle reussit à peu près à s'agenouiller et commenca à frotter ses liens mais le tissu était trop épais et le mouvemant de va et vient la fit retomber au sol et elle ne réssuit cas s'écorcher le poigné...Son système s'effondrait. Dans les moments de fièvre, elle haïssait Hannibal Lecter : il avait réveillé les souvenir de son enfance. Au cœur de la tourmente, les limites entre les notions de bien et de mal devenaient floues dans son esprit, et elle doutait de tout. Elle, si sûre d'elle-même, si disciplinée, remettait ses principes en cause. L'examen de conscience était douloureux et effrayant. Dans son désespoir, elle entendait la voix de Lecter, elle voyait son sourire, ses yeux qui la guettaient comme un chat à l'affût. Mais malgré tout, elle se raccrochait à lui. Parce que, quoi qu'elle pensa, elle se heurtait systématiquement aux vérités qu'il avait énoncées. Parce qu'il avait toujours raison. Parce que, depuis leur première rencontre, il était le maître du jeu et il contrôlait la situation. Parce que, au fonds d'elle-même, des voix s'élevaient, qu'elle ne pouvait plus faire taire...
Clarice Starling vivait le pire moment de sa vie avec la sensation folle elle esperait que Will et Jack étaient déjà à sa recherche.

Francis fut encore plus heureux de voir à quel point Hannibal s'interressait à lui.
Aprsè son cadeau,il allait parler avec le grand Hannibal Lecter:Francis en était flatté et son ego risquait d'enflé!!
Francis suivit Lecter dans le parc.
Ils s'assièrent sur un banc,assez isolé du chemin de promenade et Francis attendit que le Docteur commença à parler...

"Décidément vous n'ête pas bien bavard ... N'ayez pas peur que je vous juge a votre façon de parler."


Il me regarda avec un legé sourire, un regard plein de reconaissance.

" Bon sinon dite moi, j'ai déjà entendus parler de vous mais j'aimerais en savoir plus, voulez-vous bien me raconter votre enfance ?"

Francis n'osait effectivement pas lancer de lui même une conversation:il était assez timide et face au grand Hannibal Lecter,il essayait de faire de son mieux,ne serait-ce que pour parler:il voulait faire honneur à Lecter.

Je suis né à Springfield...(ce bout de phrase fut dur à prononcer pour Francis,mais il avait fait un bel effort malgrés les "S" et le nom de la ville difficillement prononcable)
Ma mère ne devait pas beaucoup m'aimer car elle est partie sans moi.
Des médecins ont essayés de réparer mon visage:j'avais une fissure bilatérale de la lèvre supérieure et une division palatine mais à l'époque,la chirurgie n'était pas encore ce qu'on connait aujourd'hui...
On m'a plaçé à l'orphelinat de la ville...pendant 5 ans.
Personne ne venait me voir et un jour,une dame est arrivée et m'a emmener chez elle:c'était ma Grand-Ma.
Un jour,elle m'emmena voir ma mère qui s'était marié avec un juriste,et il avait 3 enfants....Mais ma mère ne m'aimait toujours pas...
Ma Grand-Ma avait une maison de repos,où je vis encore aujourd'hui,une grande maison,et mon grand-père,je ne l'ai pas connu,il est mort l'année où je suis né.
Elle était très sévère comme femme ma Grand-Ma,mais je pense que c'était pour mon bien.Et la vie n'était pas toujours facile pour une vieille femme qui devait s'occuper de tous ses vieux et impotents pensionnaires.
Quand j'avais 9 ans,ma Grand-Ma fut emmener dans une autre maison et ma mère m'a accueillit chez elle.
J'ai rencontré mes demis-frères et soeurs:Ned,Victoria et Margaret.
Ils n'étaient pas gentils avec moi,et ma mère ne m'avait même pas envoyé dans la même école qu'eux:je leur fesait honte,je le sais...

Après ce long récit de début de vie,Francis marqua une pose:ses souvenirs devienrent flous,c'est une période de sa vie qu'il avait vaguement effaçé de sa mémoire.
Il ne se rappellait pas que un mois après son arrivée dans la maison des Vogt,il avait été mis à la porte pour avoir pendu le chat de Victoria...
Sa mémoire le ramenait à ses 17 ans,âge où suite à une effraction,on lui avait demandé de choisir entre l'armée et la prison.
Francis avait choisit l'armée;après avoir fait ses classes,il avait été envoyé dans une école spécialisé dans les travaux de développements de films,puis au Brooke Army Hospital de San Antonio où il travailla sur les films pédagogique à l'usage de jeunes apprentis médecins...

C'est à cette époque que des chirurgiens se sont interressés à ma malformation.
Ils m'ont fait une rhinoplastie et d'autres choses qui font que j'ai juste cette cicatrice aujourd'hui...
Et puis quelques années plus tard,j'ai été à Hong-Kong...très jolie ville d'ailleurs...et j'y développais des films pris par des avions miniatures d'observation que notre pays envoyait au-dessus du 38ème parallèle...
Et ma Grand-Ma est sortie de la maison de repos où elle avait été admise quand j'étais petit.
J'ai quitté l'armée pour m'occuper d'elle,comme elle s'était occupé de moi.
J'ai trouvé un travail au laboratoire de Gateway...très belle période de ma vie.
Grand-Ma est décédée,je suis parti trois mois à Hong-Kong...

C'est là-bas que Dolarhyde avait fait réalisé son immense tatouage dans le dos.
Là-bas que Dolarhyde avait trouvé une paix intérieure...
Et cinq mois plus tard,il commencerait à accomplir sa mission chez les Jacobis.

Je ne vous ai pas trop...ennuyé avec ce long récit,Docteur?
Si vous voulez savoir autres choses,je vous répondrais volontiers,mais je crois vous avoir tout dit...

Francis regarda Lecter:il essayait de voir dans ses yeux si le Docteur Lecter prenait conscience de l'homme qu'il devenait,de son...Devenir!

Clarice le corps roulé en boule, avait tout tenté pour se débarasser de ses liens mais en vain. Maintenat elle avait juste un belle entaille au poignet et elle s' était épuisée pour rien. Elle se sentit définitivement prise au piège. Et en plus de l'épuisement le sang-froid lui faisait cruellement défaut en cet instant... Elle n'entendait plus rien autour du van mais ou étaient ils ?

j'écoutais francis avec grand intéret. Ca vie n'avait pas était tés fcile, mais je n'allais pas le plaindre, la mienne n'avait pas était de tout repos non plus.
Voyant quil n'avait pas finis, je le fixais toujours et je remarquai qu'il commençait a prendre confiance en lui. Il était temps ...
Cependant il c'était arrêté maintenan, pour l'ecourager, je lui fit un signe de la main et lui dit de continuer.
En l'écoutant je pensais aussi a Clarice, qui devait surement chercher un moyen de s'en fuir, mais ou qu'elle aille je savais que je la retrouverais.

Francis avait fini de parler...Il regardait devant lui,se demandant ce que Lecter pouvait bien penser de lui!
Et puis,il pensait aussi à l'agent Starling:il l'avait "saucissonner" d'une telle façon qu'il savait qu'elle ne pourrait pas s'enfuir,mais le faite d'être éloigner du cadeau de Lecter l'ennuyait un peu...si quelqu'un venait à s'approcher du van et à entendre le rafut que pourrait faire la jeune femme en s'agitant dans le coffre??
Francis se retourna face à Hannibal.

Et vous Docteur,si je peux me permettre,comment se passe votre vie?
Je veux dire...comment faite vous pour être aussi "libre" malgrés le faite que vous êtes quelqu'un de très rechercher?
Vous me surprenez énormement Docteur Lecter,je vous admire beaucoup!!

Francis tendait un léger sourire à Lecter,mais de peur que son visage paraisse déformer face au Cannibal,il s'abstint de faire plus...

Clarice entendu enfin quelque chose, un pas de course qui se rapprochait d'elle. Peut être enfin, un chance de sortir de là. Elle se mit à appeler à l'aide et essaya de taper le plus fort possible dans la paroi métallique du van. Elle espérait aussi qu' Hannibal et la petite souris étaient loin du van car si jamais une personne lui apporté son aide elle pourrait y risquer sa vie , rien que de s'approcher du van été sans doute un risque.
Le pas ralentit et s'approcha du van avec hésitation. Clarice reprit un peu espoir, de sortir de là. Quelqu'un toucha la porte du coffre...

Pendant que je faisais le tour du parc au pas de course, je repensais a mes deux agents, je n'avais aucune nouvel d'eux. Puis au bout d'un certain temps je vis sur mon trajet un van, rien de plus banal pensais-je. Seulement j'entendais quelque chose. Je m'approchais et m'apperçus que c'était la voix de l'agent starling. Elle était enfemé la dedan et ca n'avait pas l'air d'être de son plein gré.

Je cherchais tout au tour de moi quelques chose pour la sortir de là. Comme je ne trouvais pas, je me mis contre la porte pour lui dire que j'étais là et qu'elle devait maintenan évité de faire trop de bruit pour ne pas attirer son agréseur. Elle se tut.
La main dans poche je me rendis compte que je tenais un trombone entre mes doigts. L'une de mes plus grande manie étant de le tordre dans tout les sens. Je l'arrangeais de façon a se que celui si soit en forme de crochet et grace a cet outils de fortune, je réussis a ouvrire le van. Ensuite grâce a un bout de verre trouvé parterre, aprés des minutes qui semblaient interminable, il réussit a rompre ses liens et la fit sortir du van.

Francis Dolarhyde a écrit:
Et vous Docteur,si je peux me permettre,comment se passe votre vie?
Je veux dire...comment faite vous pour être aussi "libre" malgrés le faite que vous êtes quelqu'un de très rechercher?
Vous me surprenez énormement Docteur Lecter,je vous admire beaucoup!!

Francis tendait un léger sourire à Lecter,mais de peur que son visage paraisse déformer face au Cannibal,il s'abstint de faire plus...

Je suis flatté que cela vous interesse mon cher et que vous m'admiriez, même si sans vouloir me vanté je l'avais compri a travers les lettres que vous m'avez adréssé Ma vie se passe plutot bien en ce moment et votre cadeau n'a fait que la rendre meilleur. En se qui concerne ma liberté, j'ai le droit de la prendre et je ne pense pas retourner dans mon cachot un jours, aprés tout je n'ais fait que débarassé la société de quelques vermines qui l'encombré, mai j sais bien que mes ami du FBI ne le voyent pas comme ça,vous savez se que c'est que d'être incomprit n'est ce pas ? Et ce n'est pas par ce que j'estime que ce que j'ai fait est juste qu'il n'éssayerons pas de me remettre dans le trou ou j'étais, j'en suis conscient, seulement je ne les laisserais pas me rattrapper... et je ne m'en fais pas, d'être le criminel le plus recherché ne m'inquiète pas, aprés tout cela ne fait que renforcé ma notoriété et je dois dire que j'adore faire partit de la vie publique...

Francis était tellement flatté qu'Hannibal lui réponde aussi tranquillement.

Vous êtes effectivement un homme de caractère et votre travail est tellement exceptionnel Docteur!
Vous comprenez tout,la société,les êtres...Et oui,vous avez débarrasser notre monde de quelqu'unes des vermines...Mais il en reste tellement!

Francis commençait à être un peu agité,il sentait que quelque chose se passait,mais ne savait pas dire ce que c'était...Non,ça ne pouvait pas être LUI,pas le Grand dragon,mais autre chose!
Francis regardait partout autour de lui.
Hannibal remarqua le changement de Francis,mais cela ne l'empechait pas de rester assis calmement à côté de l'homme-dragon.
Dolarhyde se remit à parler,comme çi de rien n'était...

Incompris? Oh oui,je sais trop ce que ça fait...
Personne ne m'a jamais compris...Grand-Ma était la seule,mais elle n'est plus de ce monde,et de toutes façons,je suis sur le chemin de la Gloire,je serais compris en temps voulu...

Mais Francis recommenca à regarder partout autour de lui.
Lecter lui demanda ce qu'il avait mais Francis ne répondit pas tout de suite.

Euh,Docteur,ne pensez-pas que je m'ennuie avec vous,mais je sens que quelque chose se passe,je ne serais expliquer quoi...
Cela ne vous inquiète pas de ne pas avoir...votre cadeau à proximité?
Il y a peu de monde dans le Parc,mais...il y avait un homme tout à l'heure,qui est passé! Vous l'aviez vu?
Je ne suis pas rassuré Docteur.
Je ne voudrais pas que mes efforts pour vous faire plaisir soient vains...

Francis se leva,regarda encore le Parc,comme çi il essaie de voir à travers les arbres ce qui pourrait se passer derrière...
Mais Hannibal,toujours calme,lui demanda de se rassoir en lui disant de ne pas s'inquièter...

Excusez-moi Docteur,je suis parfois...

Francis ne finit pas sa phrase.
Il regardait désormais Lecter,en pensant que celui-çi reprendrait la discution...

Clarice fut surprise mais heureuse de voir Crawford. Elle était enfin libre, Jack l'avait libéré de ses liens et elle eu mal dans toutes ses articulations lorsqu'elle se leva après tant d'efforts pour tanter de se libérer...
Jack sortit un mouchoir de sa poche et le plaça autour du poignet blessé de Starling, et lui demanda tout va bien Starling, qu'es ce qu'il s'est passé?
Clarice ne prit pas vraiment le temps de lui expliquer en détail...Mr Crawford il faut appeler du renfort Lecter et la petite souris sont quelque part dans ce parc !!! Et je n'ai plus mon arme, on me la prise lorsque j'ai était enlevée, il ne faut pas rester là ils risquent de se rendre conte de quelque chose...

Je voyais qu'il était nerveux, son visage c'était crispé, et ses poingts étaient fermement sérraient, posaient devant lui sur ses genoux. Je savais que même si je lui parlais, il avait beau avoir toute l'admiration du monde pour moi, il penserais encore a se qu'il ressentait actuellement.
Moi aussi je savais qu'il se passait quelque chose et j'avais mon idée sur le sujet. Alors sans plus le faire attendre, je lui proposais d'aller marcher pour nous dégourdir les jambes, en faisant un petit détour par le van pour calmer ses craintes....

Elle avait raison le temps préssait. Elle et moi nous , nous dirigions donc vers un endroit éloigné de là ou je l'avais trouvé, ainsi nous pourrions appeller du renfort sans nous faire repérer.
Une fois installé, je lui demandais de m'expliqué se qui c'était réellement passé, elle commença donc a m'expliquer.
Quand elle eu finit, j'appellait des reforts, et nous restions tout les deux assez prés des deux hommes pour les voir sans se faire remarquer, nous ne restâmes pas longtemps, ils se déplaçaient.
Jeles voyaient tout deux côte a côte parlant tranquilement, mais la petite souris avait l'air plutôt nerveuse, quant a lecter, il était toujours impossible a cerner.

Hannibal proposa à Francis de marcher un peu.
Le docteur avait-il vu dans l'attitude de Dolarhyde son malaise?
Francis accepta et ils se mirent à marcher tranquillement sur le chemin du parc.
Mais en pleine discution,alors que Francis regardait sur son côté droit,il aperçut son van et se mit à hurler.

NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOoooooooooooooooooooooooooooonnnnnn!!!!
POurquoi?

Lecter regarda Francis en se demandant bien ce qu'il lui prenait et comprit rapidement le problème:les portes du van étaient ouvertes,Clarice avait réussi à s'enfuir.

C'est quelqu'un...c'est quelqu'un,j'en suis ss...sssûr!!! Elle ne pouvait pas s'enfuir,je l'avais bien attaché Docteur!
C'est l'homme de tout à l'heure,je...

Mais comme il était relativement énervé,Francis n'arrivait plus à s'exprimer clairement.
Il se contenta de tomber les genoux à terre...
Il était désespéré:son cadeau venait de s'envoler!

Clarice et Jack aperçurent de leur cachette les deux hommes se rapprocher du van. Il n'avait pas intérêt à être repérait tant que les renforts n'étaient pas arrivés ni Jack ni elle n'avaient d'armes mais son ravisseur avait la sienne. Clarice fut étonnée de voir l'homme qui l'avait enlevé dans un tel désarrois, face à sa disparition. Elle espérait plus que tout que les renforts arrivent à temps...Elle regarda Jack, il avait un air inquiet et il devait surement se poser la même question, comment allez réagir Lecter?...

Je m'en étais douté mais je n'avais pas voulus y croire, pourtant c'était un fait, elle était partit. La porte du van étant grande ouverte, et francis a mes pieds avait l'air totalement désemparé. Je ne prétais plus attention a lui, je m'approchais juste du véhicule.
Elle avait été prés de moi, je l'avais même touché pour la première fois depuis longtemps, j'aurais pus l'enmener avec moi et gouter au plaisir de sa compagnie, mais elle m'avai fllée entre les doigts. Je savais qu'elle n'avait pas pus s'en sortir seul, quelqu'un l'y avait aidé, mais qui ? Surement quelqu'un du FBI.
Je ne perdis pas éspoire pour autant, je venais d'entendre un bruit, elle n'était pas si loins que ça en fin de compte.
Je retournais vers la machoir : " mon amis relevez vous. " il s'exécuta " calmez vous, nous la retrouverons, de plus nous ne somme pas seul .... Si vous voulez renter chez vous faite le ou restez en tout les cas je suis heureux de vous avoir parler, je crois que je vais m'en aller retrouver ma soeur, vous comptez faire quoi ? "
Il avait l'air surpris : " et l'agent Starling ? "
" ce n'est qu'une question de temps et je vous pari qu'elle n'est pas loins "

Francis se releva lorsque Lecter lui demanda.
Mais il était si désemparé.......
Le Docteur demanda alors à Francis ce qu'il voulait faire,partir ou rester!

Et L'agent Starling???

Lecter rassura Dolarhyde.
Il avait tellement sûr de lui que Francis lui fit confiance.

Retrouver votre soeur,moi,je retourne chez moi,les flics ne vont sûrement pas tarder à arriver!
Elle n'est pas sortit seule,j'en suis sûr et maintenant,elle a du lancer un appel contre nous!!!
Docteur,contactez-moi si vous avez besoin de mon aide,je serais libre pour vous n'importe quand!
A bientôt Docteur..et merci d'avoir pris le temps de parler avec moi,j'en suis très honoré!
Aurevoir!

Francis salua Lecter et monta dans son van!
Il démarra en trompe et prit la route de sa maison...
Dans le rétroviseur,il vit Lecter qui le regardait partir.
Hannibal était si calme...
Francis était persuadé que la police allait arrivé et Lecter qui restait tranquillement là,à le regarder partir.
Il était un peu embéter:il avait oublier de proposer à Hannibal de monter avec lui!
Il fit demi-tour.
Arréter au niveau de Lecter,Francis baissa sa fenètre:

Docteur,je vous emmène quelque part??
Il faut partir vite,la police et le FBI vont arriver!
Montez Docteur!
Vous n'allez pas rester à les attendre quand même?

Francis attendit une réponse de Lecter mais celui-çi n'avait pas vraiment l'air affolé...